Loading....

APC Small grant2021 – Formation des femmes de médias à la sécurité numérique

Yaoundé, 15-16 février 2022

Sous la coordination de Mme Sylvie SIYAM, Présidente de PROTEGE QV,  une vingtaine de participantes femmes de médias, ont suivi une formation en ligne et en présentiel sous l’encadrement de M. Avis MOMENI, secrétaire générale de PROTEGE QV.

Cette formation visait à outiller les apprenantes d’un ensemble de techniques de sécurité pour la protection de leurs données personnelles et dans le cadre de leur profession de journalistes.

En partenariat avec APC dans le cadre du Small grant2021, cette formation était aussi pour PROTEGE QV une contribution à la réduction de la fracture numérique au sein de la gent féminine journalistes.

Au sortir de cette formation, les apprenantes bien qu’ayant apprécié l’initiative ont jugé la durée de deux jours de cette formation pas assez suffisante pour la maîtrise de l’ensemble des outils enseignés, ainsi elles ont suggéré d’autres formation complémentaires dans le futur.

Des articles en lignes et un élément audio de diffusion ont étés produits par les apprenantes à l’issue de cette formation.

Avis Momeni / PROTEGE QV

Promoting freedom of expression and gender equality by training media women workers on online safety

PROTEGE QV will be conduct a training workshop on 15 and 16 February 2022 a workshop capacy building on the online security, the target are women journalists, this will take place physically and virtually under APC support « small grant campaign2021“. The project is entitled: « Promoting freedom of expression and gender equality by training media women workers on online safety”.

PROTEGE QV organise du 15 au 16 février 2022, une formation en semi-présentiel et semi-virtuel, des femmes journalistes, sur la sécurité en ligne, avec l’appui de APC à travers le « small grant campaign2021 », projet intitulé : « Promoting freedom of expression and gender equality by training media women workers on online safety »

PROTEGE QV is taking part at the Sixteenth IGF edition held from 6-10 December 2021 at Katowice in Poland

The Secretary General of PROTEGE QV Mr Avis MOMENI will will be share as speaker on a round table panels , Cameroon national experience on the topic :  « Digital rights respect in the context of Covid-19 pandemic: gender equity between men and women questioning », through the Dynamy Coalition session.

Renforcer les capacités des femmes élues pour un leadership affirme (Empowering female elected leaders for executive leadership)”.

Dans la mouvance de la célébration de l’édition 2021 de la Journée Internationale de la Femme, PROTEGE QV  organise avec le soutien de l’Ambassade des Etats Unis au Cameroun, un atelier virtuel sur le thème RENFORCER LES CAPACITES DES FEMMES ELUES POUR UN LEADERSHIP AFFIRME (EMPOWERING FEMALE ELECTED LEADERS FOR EXECUTIVE LEADERSHIP)”.

Ledit atelier qui se tiendra du 22 au 31 mars 2021, a pour objectif de renforcer les capacités de leadership des femmes élues au Cameroun, afin qu’elles puissent jouer efficacement leurs différents rôles de représentation politique et sociale, et qu’elles soient à même de réaliser effectivement leurs programmes.

Il est prévu d’accueillir 75 participantes sélectionnées parmi les femmes élues aux postes de Sénateur, Député, Président de Conseil Régional et Maire.

A l’issue de l’atelier, les participantes seront en mesure d’identifier les défis posés par le contexte sociopolitique du Cameroun pour les femmes leaders et comment les surmonter; de mettre en place des stratégies pour promouvoir des réformes sensibles au genre dans la législation et les procédures administratives; d’utiliser des outils de communication appropriés pour atteindre le grand public, promouvoir leurs programmes et influencer leurs électeurs ; et d’exploiter les atouts du réseautage pour améliorer l’efficacité de leurs actions.

Guide de planification et de budgétisation sensibles au genre pour les autorités locales au Cameroun

Le 21 octobre 2020, la salle de conférence CHIMUTA Divine BANDA de la Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés du Cameroun (CNDHL), a abrité un atelier d’enrichissement du « Guide de planification et de budgétisation sensibles au genre pour les autorités locales au Cameroun », élaboré par PROTEGE QV avec le soutien financier de Urgent Action Fund Africa et le soutien technique du MINDDEVEL, du MINPROFF, du MINEPAT et des CVUC.

Ont pris part à cette journée une vingtaine de participants avec notamment des administrations (MINDDEVEL MINPROFF, MINEPAT), des  Maires, la Commission Nationale des Droits de l’homme, les organisations de la société civile et les médias.

Trois principaux résultats étaient attendus au terme de cet atelier :

  • une prise de conscience par les participants de la nécessité d’intégrer la composante « genre » dans la planification et la budgétisation au niveau local ;
  • des propositions motivées d’amélioration du projet de guide présenté ;
  • une pré-validation du guide moyennant l’intégration des enrichissements.

La journée s’est déclinée en 3 articulations principales à savoir :

  • Les activités de lancement de l’atelier ponctuées par le mot de bienvenue du président de la CNDHL, la présentation des participants et celle des Termes de Référence de l’atelier par la présidente de PROTEGE-QV;
  • Les activités techniques dont certaines en plénière et d’autres en travaux de groupe avec pour objectif de confirmer et au besoin, enrichir l’analyse présentée par les chercheurs avant finalisation du guide ;
  • Les activités de clôture de l’atelier.

Au terme des travaux, le guide a été validé moyennant les observations formulées. Les échanges et les travaux en groupe ont conduit à trois recommandations:

  • Organiser à l’échelle nationale, de vastes campagnes de sensibilisation et de renforcement des capacités des élus locaux et d’autres détenteurs d’enjeux aux bénéfices et avantages de l’approche genre lors de l’élaboration des budgets et autres activités de la commune ;
  • Prévoir dans l’organigramme de chaque collectivité locale, un poste d’expert en genre ;

Intégrer un module sur l’intégration du genre dans la gestion locale au sein des curricula de formation des personnels des collectivités locales.

Intégration du genre dans le développement local

Cap sur la prise en compte du genre dans la planification et la budgétisation au niveau local.
La salle de conférence de la Commission des Droits de l’Homme et des Libertés(CNDHL) a servi de cadre le 21 octobre 2020 à Yaoundé à un atelier d’enrichissement du « guide de planification et de budgétisation sensibles au genre pour les autorités locales au Cameroun ».
La séance de réflexion de ce jour est placée sous la houlette de la présidente de l’association Protège QV Sylvie Siyam, avec le soutien technique du ministère de la décentralisation et du développement local(Minddevel), du ministère de la promotion de la femme et de la famille(Minproff), du ministère de l’économie, de la planification et de l’aménagement du territoire(Minepat) et des Communes et Villes Unies du Cameroun(CVUC). Présent également à cet atelier de réflexion, le maire adjoint au maire de la mairie de Yaoundé 6, Virginie Ngah, le délégué départemental du Minddevel, le PRADEC, le maire honoraire de Bana Kamanda germain et les membres de la société civile.
Le mot de bienvenue a été prononcé par Madame le Professeur Atangana Malongue membre de la Commission, représentant le Président de la Commission des Droits de l’Homme et des Libertés, appréciant l’initiative et rappelant les efforts que mène la Commission dans la promotion et protection des droits au Cameroun.
De la présentation faite lors des termes de référence par la présidente de l’association protège QV l’on retient que «La budgétisation favorable à l’égalité des sexes seraient un atout qui devrait permettre au Cameroun d’aller plus vite dans l’atteinte de l’ODD (objectif de développement durable) N°5 en faveur des femmes et des filles. Afin de l’atteindre, le gouvernement prévoit des actions de renforcement des capacités des élus locaux. En croisant ces deux aspects, protège QV a voulu contribuer aux efforts du gouvernement avec l’appui d’une organisation africaine qui milite pour les droits de la femme (Women Human Wright) en s’engageant dans l’élaboration d’un guide de planification et de budgétisation sensibles au genre pour les autorités locales du Cameroun. Il existe déjà un guide de planification locale et régionale qui avait été fait par le Minepat. Mais celui que nous voulons faire est comme un ajout a celui-là pour expliquer aux élus locaux, comment ils peuvent tout en respectant le processus de planification mis en place par le Minepat, intégrer le genre dans la planification ».
Apres ces propos, place a été faite à l’exposé de Etoundi Noah Mekongo, Cadre représentant de la CNDHL, sur le thème, « La Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés et la promotion de L’ODD N°5 sur l’égalité des sexes et l’autonomisation de toutes les femmes et des filles ». De cet expose, l’on retient que l’objectif est de parvenir à l’égalité des sexes et l’autonomisation de toutes les femmes et les filles ; mettre fin partout dans le monde a toutes formes de discrimination à l’égard des femmes et des filles, à cet effet, la CNDHL dénonce des cas de discrimination à l’égard des femmes et des filles dans un Rapport sur l’état des Droits de l’homme au Cameroun (…), collabore avec les autorités compétentes en vue de l’arrestation des auteurs de ces violations ainsi que la réparation des victimes. Aussi, la mise en œuvre des cibles de l’ODD au niveau local peut se faire à partir de certaines actions, notamment : la promotion et l’animation des activités sportives et de jeunesse ; la création des établissements publics locaux à caractère social ; l’établissement des actes d’états civils…
Ensuite s’en est suivi l’exposé de Mrs Vivian Jioy Kendemeh, sous-directrice de la promotion genre au Minproff sur le thème, « La présentation du politique national genre du Cameroun ». Pour y parvenir des actions doivent êtres mener entres autres : le renforcement des actions destinées à l’élimination des gaps entre filles et garçons dans le domaine scolaire a tous les niveaux et à la scolarisation non-discriminatoire des filles et des garçons ; réduire de 35% à 10% le taux d’analphabétisme et d’illettrisme des femmes ; favoriser leur accès au TIC ; porter de 40,2% à 28,7% le taux de pauvreté des femmes ; développer la formation politique et citoyenne des femmes et développer un partenariat actif avec les partis politiques nationaux pour une meilleure participation des femmes à la vie politique. Ensuite s’en est suivi l’exposé de Mlle Lionelle Tchingoua, membre de protège QV sur le thème, « Généralités sur la prise en compte du genre au niveau local. » Enfin, l’on a suivi avec attention l’expose de Madame Sylvie Siyam présidente de PROTEGE QV sur le thème « Planifier, mobiliser, budgétiser en intégrant le genre. »
Myriam Djamen
Atelier d’enrichissement du « guide de planification et de budgétisation sensibles au genre pour les autorités locales au Cameroun »
Voici les recommandations des travaux de groupe
Dans l’optique de produire un guide conséquent, trois groupes de travail ont été constitués avec à la clé des recommandations formulées par ceux-ci. S’agissant du premier groupe de travail qui avait pour thème « planification en intégrant le genre », une seule recommandation a été formulée, il s’agit d’intégrer dans l’approche genre l’aspect socio-culturel et religieux afin de prendre en compte les spécificités locales.
Pour le second groupe de travail dont le thème est « Programmer en intégrant le genre », ces derniers ont souhaité que les exécutifs locaux prennent en compte les propositions qui sont faites dans le draft du guide et qu’elles puissent mettre à la disposition de l’équipe technique des moyens financiers. Le troisième groupe qui avait pour thème, « Budgétiser en intégrant le genre », à suggérer d’adopter une formulation plus simple facilement compréhensible par le camerounais lambda ; équilibrer les actions avec les résultats attendus.
Comme recommandations générales, l’on retient qu’à l’échelle nationale, les séminaires de renforcement de capacités des élus locaux doivent être élaborés par le gouvernement, qui doit également prévoir un poste d’expert genre au sein de l’organigramme des communes.
A l’issue de cette atelier, la modératrice du jour par ailleurs chef cellule de la coopération au Minddvel, Madame Bilo’o épse Dzou Lucienne Thamar se réjoui de cette initiative. « Je félicite l’initiative précise par l’association protège QV pour pouvoir apporter un soutien au travers d’un guide aux élus locaux de pouvoir s’arrimer aux exigences internationales et nationales en ce qui concerne le budget des communes a l’approche genre. Je me réjouis aussi de la qualité des échanges, des idées, des propositions et des recommandations. Je souhaite que ce guide voit le jour et que le renforcement des capacités soit implémenter pour qu’enfin le processus de décentralisation qui est porté par le Minddevel soit réellement mis en branle, pour que le citoyen lambda sente qu’il est la priorité de la politique de développement du Président de la République. »
Myriam Djamen
REACTIONS
Sylvie Siyam, présidente de l’association Protège QV
« Nous devrions nous attendre à ce que quand un maire veut collecter les besoins des populations dans une approche de diagnostic, qu’il distingue les besoins des femmes des besoins des hommes. »
Cet atelier permet d’enrichir un travail qui est déjà en cours. Arrivé à une certaine étape de l’élaboration du guide, nous avons pensé qu’il était opportun de rassembler les acteurs qui auront à intervenir dans la mise en œuvre et de l’utilisation de ce guide. Le guide vise à expliquer aux autorités locales, comment intégrer le genre dans la planification, la programmation, la budgétisation et le suivi évaluation au niveau local. Intégrer le genre c’est prendre en compte les spécificités, les besoins et les attentes des femmes et des hommes et des autres composantes sociales. Au cours de l’atelier, les maires ont relevé qu’il ne fallait pas seulement élaborer des guides, mais qu’il fallait d’abord les outiller , les sensibiliser à accepter déjà le fait qu’il faut intégrer le genre mais aussi a comment intégrer, parce que ce n’est pas juste sur la base de leur volonté, c’est des exigences auxquelles le Cameroun a souscris, comme l’ODD N°5 qui est dans l’agenda 2030 des Nations Unies qui impose d’intégrer les préoccupations des femmes et des hommes dans tous les programmes, les projets et des politiques qui sont mises en œuvres au niveau central et au niveau local. Nous devrions nous attendre à ce que quand un maire veut collecter les besoins des populations dans une approche de diagnostic, qu’il distingue les besoins des femmes des besoins des hommes. Qu’il distingue aussi la contribution des femmes à celle des hommes. Un maire à la responsabilité d’implémenter le développement local, s’il fait un diagnostic sans avoir pris de manière précise les besoins, les problèmes de chaque groupe, ça veut dire que les solutions auxquelles il parviendra ne seront pas forcement efficace, elles auront des effets, des impacts sur certains groupes mais pas sur d’autres.
Ngah Virginie, 2è adjoint au maire de la commune d’arrondissement de Yaoundé 6
« Nous devons tenir compte des besoins spécifiques de tous les genres. »
En participant à cet atelier nous avons compris que les choses évoluent positivement dans le sens de la prise en compte du genre, et que dorénavant nous allons devoir faire avec cette donne-là. C’est-à-dire que lorsque nous élaborons nos plans de campagne, nos budgets, nous devons tenir compte des besoins spécifiques de tous les genres. Dorénavant, nous allons nous arrimer à la volonté gouvernementale qui voudrait que le genre soit pris en compte dans les actions que nous menons sur le terrain. La première des choses à faire à partir de demain, vu que nous avons déjà le budget 2021 en préparation, il est question d’examiner tous sur l’axe de l’approche genre, et cela va nous permettre d’être plus efficace et utile pour nos populations.

Journée de Réflexion sur les lois encadrant la liberté d’association et de réunion

Le 06 octobre 2020, s’est tenue à la Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés (CNDHL) à Yaoundé (Cameroun), une journée de réflexion sous le thème : « Cohérence des lois sur la liberté des réunions et d’association en Afrique Centrale avec les lignes directrices de la commission Africaine des droits de l’Homme et des Peuples : Cas du Cameroun ».

Ont pris part à cette journée une vingtaine de participants représentant les acteurs de la promotion de la liberté d’association et de réunion, et notamment des administrations publiques, la CNDHL, la communauté universitaire, les organisations de la société civiles et les médias.

Sous la modération du Professeur ATANGANA MALONGUE, trois communications servies en plénière ont été délivrées. Elles portaient respectivement sur le rôle de la Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés dans l’alignement des lois avec les orientations internationales, et la Cohérence des lois sur la liberté d’association et sur la liberté de réunion au Cameroun avec les lignes directrices de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples.

Elles ont été suivies par des travaux de groupe.

Au terme d’échanges fructueux, les participants ont recommandé ce qui suit :

  • Mettre en place une branche de droit international à l’ENAM et au sein des juridictions camerounaises afin de favoriser l’internalisation dans la pratique des textes internationaux et régionaux ;
  • Sensibiliser et accompagner toute association de facto vers l’acquisition de la personnalité juridique ;
  • Vulgariser les textes internationaux et régionaux sur la liberté d’association et de réunion par tous les canaux ;
  • Produire un recueil des textes internationaux ratifiés par le Cameroun sur la liberté d’association et de réunion ;
  • Associer la société civile à l’élaboration et la formulation des avant projets de loi ;
  • Mettre en place une procédure dématérialisée de déclaration d’association.

Webinaire: COMMENT SURFER SUR INTERNET EN TOUTE SÉCURITÉ

Avec la pandémie à coronavirus et même avant, vous êtes très souvent sur internet. Mais y êtes vous en sécurité ? PROTEGE QV organise un webinaire sur le thème  COMMENT SURFER SUR INTERNET EN TOUTE SÉCURITÉ Jeudi 23 juillet 2020 de 14h-16h GMT, soit 15h à 17h (heure de Yaoundé ou Lagos)

Le nombre de participants est limité à 50.  Si vous êtes intéressé, veuillez vous inscrire ici :  https://docs.google.com/spreadsheets/d/18Evgc7sykjnEKsbgeGCrKOMeaPMduLx5btG6IAQTzKc/edit?usp=sharing

Comment ? : Via la plateforme Jitsi Meet de visioconférence compatible avec tous les navigateurs.

  • à partir de votre smartphone, le télécharger sur votre playstore ou apple store, ou à partir de votre ordinateur (sans téléchargement) ;
  • pour rejoindre la salle de formation en ligne, vous n’avez pas besoin de créer un compte, cliquez juste https://meet.jit.si/InternetSecurityTrainingP-QV-20200723
  • Saisir votre nom dans la zone « Merci de saisir votre nom ici » ;
  • Cliquer sur « Rejoindre la réunion ».

Mot de passe d’accès à la réunion : Pro|egeQV2020 au cas où il vous est demandé.

Méthodologie : Formation pratique et organisée en deux parties ((i) Identification des différentes cyberattaques et comment s’en prémunir ; (ii) Comment sécuriser votre smartphone et vos comptes sur les réseaux sociaux).

Formateur : Emmanuel BIKOBO, Ingénieur informatique, spécialiste en intégration logiciels, en sécurité et développement Web

Langue de la formation : Français

 

Back To Top